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 « Ne trouve tu pas excitant que je puisse te la retirer ? » Mad Présentation [E.C]

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AuteurMessage
AnonymousHi darling, i'm Invité, nice to meet you. ♥
Invité



«  Ne trouve tu pas excitant que je puisse te la retirer ? » Mad Présentation [E.C] Vide
MessageSujet: « Ne trouve tu pas excitant que je puisse te la retirer ? » Mad Présentation [E.C]   «  Ne trouve tu pas excitant que je puisse te la retirer ? » Mad Présentation [E.C] EmptyMer 25 Aoû - 13:56

    C. : A moi, ok ? A MOI ! *W*



Parlons de ZACHARY LOWNE

    «  Ne trouve tu pas excitant que je puisse te la retirer ? » Mad Présentation [E.C] 20145607037820_sans_titre1_copie
    Feat } Docteur Frankenstein.
      Nom : Lowne.
      Prénom : Zachary.
      Age : 24 ans.
      Classe sociale (Groupe désiré) : Noble.
      Orientation sexuelle : Bi.
      Comment est-il (est-elle) arrivé(e) ici ? (Minimum 5 lignes) /! Les personnages nés à Madland n'ont pas à décrire leur arrivée mais leur situation à Madland (serviteur, noble, bourgeois, etc....) :

Parlons de son physique



    Nuit tombée sur Dark Street, quelques clochards crevant de faim dans les caniveaux. Il fait froid, l’odeur vous pique le nez et vous portez votre main à votre bouche. Vous êtes surtout surpris de voir que ce genre d’endroit existe. Vous titubez et vous vous adossez à un mur crasseux. Vous êtes pas au courant de ce qui a pu trainer sur ce même mur, et vous avez pas envie de le savoir. Au loin, vous voyez une personne se démarquant des autres, que se soit par sa démarche nonchalante ou son imposante blouse ouverte. Il est fin mais grand. Vous longez doucement ce mur crasseux. Malgré le peu de lumière dans cette ruelle, vous pouvez clairement voir que quelque chose cloche avec cet homme. Des lunettes rondes devant ses yeux, la façon dont le peu de lumière se reflète dedans rende les verres complètement blancs, cachant son regard. Mais pourtant, vous sentez qu’il vous scrute, vous examine, vous met à l’épreuve.

    Ce peu de temps qu’il vous offre, vous l’utilisez pour mieux examiner son visage. Frayeur, cet homme possède des points de suture tout le long du visage. A force de l’observer, vous vous rendez même compte que ce type fume de façons nerveuse. Plus personne n’est présent dans cette ruelle sauf vous et lui. C’est avec horreur que vous voyez ses lèvres s’écartent et se forment en sourire. Un grand sourire où on pouvait même observer ses dents blanche. L’homme aux cheveux gris s’approche de plus en plus de vous, son rictus vous glace le sang. Pourquoi étiez-vous sortie à cette heure-ci ?

    La fumée de cette foutue cigarette flotte autour de son visage, elle vous nargue, vous provoque. Si vous en aviez la force et le courage, vous lui auriez déjà retiré cette cigarette de la bouche. Peut-être même que vous en avez la force ? Peut-être. Mais vous êtes déjà tombé dans une peur primitive. Ce type est fou, il me traquerait à l’autre bout du globe. C’est peut-être faux, mais êtes-vous vraiment sûr de ça ?
    Ça y est, vous pouvez enfin voir ses yeux. Ses yeux verts, en amande. Ils brillent d’une lueur sadique. Rapidement, vous vous tournez, prêt à courir. La seul chose don vous vous souvenez, c’est un bruit sourd et un : «  Bingo !  »




Parlons de son caractère


Madland - Golden Street.
Cabinet Privé.


    Doucement, vous ouvrez les yeux. Attaché à une sorte de table par des sangles en cuirs, vous essayez de vous débattre. Aucun résultat, vos bras et vos jambes ne bouge plus. D’ailleurs, vous ne les sentez même plus. C’est avec frayeur que vous osez regarder ce que sont devenu vos bras. Vous les voyez complètement ouverts, du bas de l’épaule jusqu’à la moitié de l’avant bras. Pour que votre bras soit toujours ouvert, ce malade a cloué chaque côté de votre bras contre la table. Les muscles ont été arrachés et vos os grattés, vu le résultat et la précision, ça a été fait au bistouri. Vision bien trop horrible, vous remettez votre tête contre la table, et vous tournez votre tête pour vomir.

    Le décor est posé, c’est maintenant que cet homme étrange rentre dans la pièce et regarde, presque amusé, la scène. Vous ne savez absolument rien de lui, à part son physique. Mais quel importance, vous n’allez pas vous en sortir. En effet, le pourquoi du comment, vous ne le connaissez pas. La seul chose que vous savez, c’est qu’il domine votre présent et votre futur.


    «  Je suis impressionné de voir que tu n’as poussé aucun cris et que tu as simplement vomis. Mais, quel manque de manière, sais-tu qui va laver tout ça ?  »

    Ce qu’il vous as dit, peu vous importe. D’ailleurs le son de sa voix parvient à peine à vos oreilles. Vous n’avez qu’une envie, pleurer. Mais vous savez que si jamais les larmes coulait, ce type s’éclaterait encore plus.


    «  Mon nom est Zachary Lowne. D’autres m’appellent Docteur Mad. Tu te demande certainement pourquoi tu es ici ? Car tu es une personne importante pour moi. Non, tu ne me connais pas. Je ne te connais pas non plus. C’est maintenant que tu te demandes, pourquoi est-ce que tu es important pour moi ? Tout simplement car chaque vie humaine est importante.  »

    Vous ne comprenez rien à ce qu’il vous raconte. Sa voix, vous la trouvez creuse, il ment peut-être. Mais, étrangement, vous êtes attiré par les mouvement de votre bourreau, pendant qu’il prend doucement un bistouri dans sa main droite.


    «  Et vu que je connais l’importance d’une vie humaine, que je sais à quel point ta vie pourrait faire avancer mes connaissance et la science… Ne trouves-tu pas excitant que je puisse te la retirer ?  »

    C’est avec violence qu’il plante son bistouri dans la table, juste à côté de votre tête.


    «  Mais je ne suis pas un sauvage. Peut-être que tu voudrais me connaitre un peu plus ? Peut-être que tu ne m’entends même plus par contre. Tu devrais commencer à sentir la douleur. Mais soit, j’aime parler à mes cobaye. Depuis mon plus jeune âge je suis en compétition avec le monde médicale. Je suis la seule personne à ne pas être aveuglé par une stupide éthique ou respect pour les lois humaines. Je suis un scientifique intelligent qui aime les humains. Et c’est pour ça, que je peux me permettre de vous faire absolument tout ce que je veux de ces même humains. Et comme je les aime, ils devraient m’aimer aussi.  »

    La douleurs traversait tout votre corps, mais vous gardez votre attention fixée sur le Docteur, étrangement intéressé par ce qu’il disait.

    «  Bien, maintenant que j’ai ton attention. J’aimerais que tu ne pousses aucun cris pendant que j’examinerais ton corps, il est tard et je n’aimerais pas que tu réveilles des gens. En attendant, je vais continuer ce que je te racontais. Je te disais donc que j’étais le seul à vous comprendre, à comprendre le côté essentiel de votre existence. Les humains sont là pour être étudiés, disséqués et utilisés. Certains me disent que j’ai une vision tordue de la médecine et de l’amour… Je les ais tuer. Des personne qui ne partagent pas ma vision ne sont rien de plus que de mauvais cobayes. Quelqu’un qui ne me comprend ne mérite pas d’être utilisé, pas par moi. Tu comprends ?  »

    Comme envouté par les paroles de cet homme, vous commencez par comprendre la façon tordue de penser de ce type. Tout ce que vous savez à présent, c’est qu’il n’est pas un homme qui tue pour son seul plaisir. Le seul mot qui pourrait le qualifier serait… Sociopathe. Pendant qu’il vous parlait vous sentiez qu’il ouvrait lentement votre ventre à l’horizontal pour vous, à la vertical pour lui. Mais peu importe, cet homme est comme un dieu qui peut décider de votre vie… Ou de votre mort.


    «  Je ne ressens pas ta douleur, tes émotions ou même ta colère. C’est-ce qui vous rend, vous les humains, aussi extraordinaire à mes yeux. J’aimerais comprendre votre fonctionnement. Alors, s’il te plait, fait moi part de chacune de tes émotions, que ressens-tu ? De la haine ? De l’admiration ? De la douleur ? Me trouves-tu cruel ?  »

    Mais aucun son ne sortait de votre bouche, vous aviez déjà abandonné votre propre vie. De la colère ? Peut-être, vous vous demandiez de quel droit un homme pouvais se juger apte à ôter une vie, plus qu’un autre. Mais la réponse était évident : La folie.


    « Bien, tu ne peux plus rien m’apprendre… Adieu.  »





Parlons de son histoire

    (20 lignes minimum)


Parlons de vous

    «  Ne trouve tu pas excitant que je puisse te la retirer ? » Mad Présentation [E.C] 7271903796894_hikh
      Surnom :
      Age :
      D'où connaissez-vous le forum ?
      What else ? Nespresso. ♥ {C.}
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