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 blaise ● j'ai jamais dit que tu me plaisais; juste que t'étais bonne

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AuteurMessage
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Blaise MontgomeryHi darling, i'm Blaise Montgomery, nice to meet you. ♥
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»Messages : 5

»How old are you : Vingt ans
»Where are you : hin hin hin.
»What's your job : glandeur pro au Red Shop


Heart Card
»Your Quote: Fuck me, I'm famous
»Your Mood: D8

blaise ● j'ai jamais dit que tu me plaisais; juste que t'étais bonne Vide
MessageSujet: blaise ● j'ai jamais dit que tu me plaisais; juste que t'étais bonne   blaise ● j'ai jamais dit que tu me plaisais; juste que t'étais bonne EmptyJeu 23 Déc - 23:28


VAS-Y, CHERIE
”Le sexe fait parti de la nature, j'obéis à la nature”

    blaise ● j'ai jamais dit que tu me plaisais; juste que t'étais bonne Mini_101224120435935776
    blaise ● j'ai jamais dit que tu me plaisais; juste que t'étais bonne Mini_101224120817356585
      Nom : Montgomery
      Prénom : Blaise
      Age : 20 ans.
      Classe sociale : Outsider
      Orientation sexuelle : Hétérosexuel
      Situation :
      Célibataire, la liberté, c'est la base tandis que le mariage, c'est la mort de l'espoir. Et éventuellement riche. Ne bosse pas vraiment, squatte chez Alice ou passe sa vie au bar de Dolce.
      Plus sérieusement, il s'est lui-même autoproclamé co-propriétaire du trou à rat de l'auberge que tient Alice. Ça peut être un jour total on fiche quedaaalle cey la fête et un autre où il fait nettoyer le sol avec les propres brosses à dents des employés quand Alice s'absente.




RECIT
”La vie n'imite pas l'art, elle imite la mauvaise télévision.”


Blaise, à quoi tu penses ?
Il y a ses longs cheveux éparpillés sur mon lit, elle sort son sourire séducteur et sa voie d'allumeuse à la con, mais, bon Dieu, qu'elle est bonne. Son doigt qui s'amuse sur mon torse, ses lèvres qui cherchent éperdument les miennes. C'est déjà qui ? Ah, ouai, celle que j'ai croisé dans Golden Street, avec son bonnet C oblige.
J'n'en sais rien.
Serait-ce à moi que tu penses ?
Elle étire encore plus son horrible sourire et essaye d'y croire. Je souris d'un air ironique, ce n'est pas à elle que je pense mais à mon bestàààh — ne cherchez pas à comprendre, très chers lecteurs — avec qui j'entretiens une bromance — là non plus, le staff et moi-même, nous nous comprenons — et qui va ma tuer car j'ai préféré me taper une fille plutôt que de tenir son trou à rat. Moi, j'arnaque les cœurs car je suis ce connard de séducteur. Nonobstant le fait que ça soit comme ça depuis mon enfance, j'en ai toujours profiter, toujours. Mais la vie est chienne et qui sème le vent, récolte la tempête. Bah, moi, je me suis récolté un putain d'lapin et je le vis mal.
Mon sourire s'étend sur mon visage, je la regarde et lui répond : « Non, je m'en contrebalance totalement de toi. »
La réalité, c'est que je suis un immonde et abominable connard.


CHAPITRE UN
un endroit perdu à l'Est de Londres, quelque part en Angleterre — 2000


Blaiise ! Fais-moi un cœur aussi !
Noon, moi d'abord !
Poussez-vous, Jenny, Calice !
Attendez ! Je suis pas Flash ! D:
J'avais dix ans, et pour vous dire, j'avais tout compris à la vie ! Dessiner des cœurs, offrir des fleurs pour leur anniversaires aux filles de ma classe en primaire, c'étaient un peu à ça que se résumait ma vie scolaire. Je jouais au soccer, supportait l'équipe de Manchester, faisait du basketball etc. Ainsi donc, l'innocence était mère de ses années. J'étais moyen niveau étude mais je me débrouillais comme même, je faisais mes exercices comme un bon petit. Ah, au pire, j'exploitais Alice qui, de toute façon, avait toujours été meilleur niveau scolaire. Ainsi donc, je faisais des cœurs pour mon propre intérêt juste pour plaire aux autres.
Et après l'école, c'était toujours le même truc, j'allais chez l'autre blond parce que mes parents étaient pas foutus de rentrer avant que je ne finisse les cours, ne voulaient pas d'une nounou et préféraient me confier à la — pauvre — mère soumise qu'était celle d'Alice. J'étais toujours là, passif, pendant que mon meilleur ami jouait son sale gosse, préférant jouer à Pokémon Stadium sur la 64. Oh, putain, oué, c'était la belle vie, chez Alice.


●●●


Mon chéri, pourrais-tu arrêter ? On va manger.
Oui, 'man, cinq secondes, je sauve-
Bordel, Blaise ! rugissait une voix derrière moi, quand t'arrêteras de te comporter en gosse capricieux ?!
Chaque soirs, c'était la même excuse, mon padre trouvait une excuse pour m'agripper le bras, me priver de dîner ou de je ne sais quoi. Sa main débrancha la prise et la fit valser avec le même regard dur.
Putain, Gus, laisses-le. Si tu continues, il finira comme un soumis !
WILLIAM, comment oses-tu me parler sur ce ton ?
Bah, j'ose… Et puis tu vas faire quoi, me foutre à la porte pour la centième fois ?
Gus fût le diminutif de Fergus que mon oncle employait toujours pour l'énerver. Oncle Will, un mec, un vrai. Il m'a tout enseigné alors qu'il avait quoi ? Sept ans de plus que moi ? En ayant l'habitude que mes grands-parents le foutent à la porte, cette crainte de se faire jeter dehors comme un pauvre ne l'animait même plus. Oh, il est mort un mois avant que je suive cette saloperie de lapin, dans sa baignoire suite à une overdose de cocaïne typique à son image. Il avait toujours cru qu'il deviendrait un grand musicien avec son éternel blouson de cuir et ses wayfarer. C'était un brave gars — qui a gagné le gros lot de mon estime en m'offrant les choses citées plus tôt.
Mon père grommelait toujours que j'étais bien le digne neveu de mon oncle. Même caractère, mêmes cheveux bruns, mêmes yeux verts. Parfois, quand le géniteur se voulait de bonne humeur, il lançait l'habituelle plaisanterie : « Chérie, tu es sûre et certaine que tu ne m'as pas trompé avec Will ? » , et on se marrait comme des cons.



CHAPITRE DEUX
à nouveau l'endroit perdu à l'Est de Londres, quelque part en Angleterre — 2006



Mais merde, Janice ! Mais merde, tu me fais chier, bordel ! Je - ne - suis - pas - ton - COPAIN !
Pou… Poussin ? Mais, mais… tu ne m'aurais jamais parlé comme ça, il y a un… un an ! dit-elle entre deux sanglots, de…depuis que… qu'Alice a. a été po, porté disparu, t'agis co-comme ça !
Je t'ai dis de ne plus jamais prononcer ce putain d'prénom !
Ses larmes coulent encore plus sur ses joues, elle émet un petit cri et se tire à la vitesse de la lumière. Je ne le regarde même plus, d'autres trucs à foutre comme me soucier de la mi-temps qui approche de sa fin. Marvin — ou Afroman — se dirige vers moi, me dit que j'ai tapé fort avec Janice. Gaunt, lui, hausse les épaules en ne lâchant qu'un : « Bah, ça va faire trois ans que c'est un connard camouflé sous ses airs de prince charmant, à force, on en a l'habitude. » , tandis que le reste de l'équipe hoche positivement de la tête.
De toute façon, c'est pas comme s'ils pouvaient me tenir tête. Capitaine de l'équipe, meilleur joueur, meilleur en stratégie, meilleur en dunk, le dossard numéro quinze restera à jamais une légende dans mon patelin. Aussi, c'est rare qu'un adolescent de seize ans fasse un mètre quatre vingt neuf et soit aussi doué dans un sport. Je suis un prétentieux de merde, et je l'assume parce que c'est la pure vérité.
Le match reprend, y a les phrases d'encouragement débiles des cheerleaders et y a les adversaires qui marquent des paniers. Après, ça devient kiff-kiff puis il y a la voix d'un commentateur qui hurle : « Victoire des Saxons, malgré un score très serré ! » , les gradins se mettent à crier de joie, on se high five avec l'équipe adverse en se disant que c'était un putain de bon match. Dans ces foutus gradins, je vois mes parents, mon oncle et ce qui devrait devenir ma tante remplis de fierté. Il y a aussi les filles qui hurlent mon prénom et essayent d'attraper ma serviette quand je la balance dans le public. Et c'est drôle, cette foutue joie que je devrais éprouver n'est pas là. Et Alice lui non plus, n'est plus là.


●●●


« Blaise… c'est normal que ça n'aille pas. Après la disparition du fils Wayne et la mort de ton oncle… » ; « Si tu as des problèmes, dis-le moi, après tout, je suis ton directeur » ; « Ne te détournes pas d'l'entraînement ! » ; « Chéri ! Chéri, reviens ! Où tu pars comme ça ?! Oh, mon bébé, reviens ! »
Tu t'es barré comme un lâche, t'en avais marre, tu es aller chercher la gloire, la fortune et les filles ailleurs. Sur ton index, t'as cette putain de bague en argent dont t'as pas réussi à t'en séparer. Parce que t'as pas réussi à oublier une fille avec qui t'as lamentablement échoué. Et pourtant, t'étais heureux avec cette rousse, cette fille qui te laissait coucher avec n'importe quelle fille tant que tu lui disais que tu étais sien. Toi, qui t'es bien fait arnaquer par cette salope, cette traînée de ginger — roux/rousse en anglais — que t'aimes encore comme un pauvre con. Tu fumes ta cigarette parce que c'en est ainsi depuis que ton meilleur ami et cette salope t'ont quitté, car tu te sens désemparé. La pluie s'abat sur toi, toi qui avances avec peine, ton sac de sport remplis de vêtements, chaussures et maillots en tout genre. Soudainement, un lapin t'head shot, t'es tellement bête que tu le suis, t'es tellement énervé que tu franchis cette saloperie de porte sans rien n'en penser.
Et voilà, comme un con, t'es pris au piège.


CHAPITRE TROIS
Madland — 2006 à aujourd'hui, constat


T'es resté le même salopard en moins prétentieux, maintenant, tu mesures un mère quatre vingt dix-huit, t'as toujours la même tête quoiqu'en plus mature. Tu te vantes un peu des exploits dans ton ancien monde.
T'as retrouvé ton meilleur ami avec qui t'entretien une "bromance", tu brises toujours les cœurs des pauvres demoiselles, et tu le vis bien.
Tout ça car t'es resté le même connard.


●●●


J'la comprends pas, je lui dis qu'elle a rien n'à faire, qu'elle a congé, mais elle balaye comme même !
Aussi, comme si t'avais compris quelque chose aux femmes !
En attendant, j'ai bien réussi à te foutre dans mon lit.
Consommes au lieu de parler.
La "charmante" demoiselle, c'est Dolce qui gère le bar en face du trou à rat d'Alice. Point d'vue conseil, elle est pas génial et point d'vue payer en nature, encore moins. " Elle ", c'est Lynn ou la seule fille que j'ai jamais pu considérer comme étant une sorte de petite sœur.
Moi aussi, j't'aime. T'es presque aussi insupportable qu'Alice, parfois.
Tu connais plus insupportable qu'Alice, toi ?
— … La Reine ?
Elle allait répliquer quand un soudain bruit ressemblant à un fracas de verre retentit et nous faisant soupirer d'une manière synchronisée tandis que je fais volte-face, toujours accoudé au bar, une bouteille de ce qui pourrait ressembler à une bière à la main.
… Mec, t'es un cas.
Etan, ça se déduira de ton salaire.
Mon padawan tire une gueule semblable à « çwç » tandis que sa petite chérie l'engueule, enfin, j'crois que c'est sa petite amie. … Enfin, bref. Vous m'suivez, de toute façon. J'étire un sourire narquois sur mon visage à l'attention de la tornade blonde me rapproche de son oreille pour lui susurrer un pauvre : « Arrêtes de me dévorer des yeux, ça me gèeeeenes. ♥ »

Aujourd'hui, j'ai vingt ans, je suis toujours un aimant à femmes sans le vouloir et je le vis bien.




Dernière édition par Blaise Montgomery le Sam 30 Juil - 22:56, édité 1 fois
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Sex symbol
AliceHi darling, i'm Alice, nice to meet you. ♥
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»Where are you : Dans ton lit. ~♥
»What's your job : Gérant du Red Shop


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»Your Quote: I'll blow down your house and then I'm gonna eat ya.
»Your Mood: Retourne toi? Mh, ouais, c'est mieux comme ça.

blaise ● j'ai jamais dit que tu me plaisais; juste que t'étais bonne Vide
MessageSujet: Re: blaise ● j'ai jamais dit que tu me plaisais; juste que t'étais bonne   blaise ● j'ai jamais dit que tu me plaisais; juste que t'étais bonne EmptyMer 29 Déc - 18:16



Blaiiiiiiise. 8D
Rien à redire. C'est parfait. Validé > Glandeurs Outsiders. ♥
Amuse-toi bien, mon Bisounours. 8D
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blaise ● j'ai jamais dit que tu me plaisais; juste que t'étais bonne

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